« Pendant longtemps, nous avons considéré qu’il suffisait d’adapter ce qui était connu chez l’adulte et de le projeter chez l’enfant. Aujourd’hui on s’aperçoit que l’enfant a une physiologie propre », souligne le professeur Philippe Humbert, chef du service Dermatologie du CHU de Besançon et directeur du Laboratoire de Biologie Cutanée à l’université de Franche-Comté.Lire la suite